Valeurs Actuelles, Le Point, FR3 … les TUILES S’ACCUMULENT SUR E.PIOLLE

Publié par user1 le

Les tuiles tombent comme à Gravelotte. Eric Piolle qui se prépare à fêter sa deuxième journée des Tuiles sans avoir encore révélè le coût de la première n’imaginait pas que cette idée s’appliquerait si bien à lui.Le deuxième anniversaire de son mandat est « fêté « , lui , par des violences sans précédent qui ont fait des dégâts considérables à Grenoble. Après le guet-apens tendu à la police par les voyous à Mistral , les 5 ou 600 casseurs cagoulés qui se sont déchaînés dans Grenoble démontrent que la ville a basculé . A force de fermer les yeux sur tout les municipalités successives récoltent ce qu’elles ont semé.

LES ROUGE/VERTS REFUGIES à l’HÔTEL de VILLE DERRIERE UN CORDON de CRS!

Pour Alain Carignon (LR)  » Il ne suffit pas de condamner ces violences après avoir développé une culture de contestation de toute autorité. Il faut rétablir l’autorité au niveau local en s’attaquant aux maux, en renonçant à excuser tous les actes de délinquance, en prenant des sanctions dans la sphère municipale partout ou on contrevient à l’ordre public  » ( communiqué) .

On a même vu les Rouge/Verts Grenoblois réfugiés à l’hôtel de ville protégés par un cordon de CRS. L’image a fait le tour de la toile et on imagine les commentaires.Ceux qui ont appuyé, cautionné toutes les révoltes, ont eux mêmes  » nettoyé la finance  » dans une démagogique opération de lavage d’une vitrine d’une agence bancaire à Grenoble, qui  prônent le « pouvoir de la rue » si les urnes ne leur donnent pas raison , sont dépassés par leur création.

L’OPPOSITION MUNICIPALE POSE DEVANT les PANNEAUX EFFONDRES

A l’occasion de ces deux ans de mandat l’opposition municipale a marqué le coup en posant devant les panneaux effondrés place Victor Hugo, symboles de l’échec de toute la politique municipale sous tous ses aspects: financier, esthétique, technique., idéologique. Ils font perdre 650 000 € et coûtent 250 000 €, ils défigurent la ville, ils ne tiennent pas debout et sont là par haine de la réussite économique et technique d’une société Française qui a vendu son savoir faire au monde.

Un bon condensé de la municipalité Grenobloise

L'opposition municipale devant les panneaux effondrés place Victor Hugo ( photo DL)

L’opposition municipale devant les panneaux effondrés place Victor Hugo ( photo DL)

M.CHAMUSSY (LR) :  » UN TRIPLE RENONCEMENT  »

Matthieu Chamussy Président  (LR) du groupe d’opposition municipale et ses collègues Sylvie Pellat­-Finet (UDI) , Nathalie Béranger (LR) , Bernadette Ca­doux, ( société civile) Richard Cazenave, (LR) Lio­nel Filippi (UDI) et Vincent Barbier (LR) ont jugé que ces deux années  de mandat  sont  » un triple renoncement. Un renoncement démo­cratique, un renoncement à l’égard des préoccupations quotidiennes des habitants et enfin, un renoncement sur le rôle et les responsabilités d’une ville de 165 000 habi­tants dans une Métropole qui en compte 450000 ». (DL 31/3/16) . Ils ont passé en revue tous les dossiers ( sécurité, économie, démocratie locale… ) pour stigmatiser les tromperies, les abandons, les régressions que les Grenoblois constatent.

un numéro qui a eu un gros succès à Grenoble

un numéro qui a eu un gros succès à Grenoble

VALEURS ACTUELLES:  » Les KHMERS VERTS GRENOBLOIS  »

Le problème pour la municipalité Piolle est que ce constat est de plus en plus partagé par les observateurs. Plus aucun journaliste sérieux ne peut venir à Grenoble en s’abreuvant seulement de la parole municipale. Il est impossible de ne pas entendre les Grenoblois.
« Valeurs Actuelles  » avec « Grenoble , le laboratoire des  Khmers Verts » a ouvert le bal en expliquant ce qui sous tend la folle dérive actuelle . L’hebdomadaire a réalisé des ventes hors du commun tant le besoin d’information est fortement ressenti.

UN JOURNALISTE SE MOQUE du « PLAN LUMIERE  »

Localement il n’est plus possible non plus de répercuter la parole municipale sans un minimum de recul.  Ainsi Frank Grassaud (FR3 )qui invitait Eric Piolle dans son émission   » la voix est libre » rappelait lui même: « « Grenoble, le laboratoire des Khmers verts ». Le titre accrocheur est signé du magazine « Valeurs actuelles »  habitué à critiquer tout ce qui dépasse à gauche. Mais ce titre n’aurait peut-être pas été imaginé il y a un an » .Précisant  qu’il y a un an  » Eric Piolle vivait encore avec l’aura d’un maire écologiste qui a promis « une autre voie » à ses électeurs, le journaliste se moquant du plan lumière qui est en train d’éteindre la ville : « Pour beaucoup, la lumière a tardé à s’allumer. D’ailleurs, l’éclairage a baissé en ville, sic.

FR3 :  » CE QUI PLOMBE Eric PIOLLE  »

« FR3 cite cette mesure  » qui se voit. Il y a aussi eu la disparition de certains panneaux d’affichage, le non renouvellement des caméras de vidéosurveillance… «
Il n’est pas question des chiffres de la délinquance ( + 63 % par rapport à la moyenne des grandes villes) ni des impôts les plus lourds de France, ni de l’augmentation de + 19 % de la taxe sur les ordures ménagéres en 2016 .
Mais la rédaction de FR3 estime que « Pour beaucoup, c’est peut-être ça qui « plombe » le bilan Piolle, 2 ans après:  « des mesures symbole qui n’impactent pas directement le quotidien des Grenoblois. Ils attendaient visiblement plus et plus vite ».
En fait les mesures déjà prises et celles qui sont annoncées impactent directement le quotidien des Grenoblois.Elles vont toutes dans le même sens, celui du gauchisme punitif pour préparer les lendemains qui chantent.  C’est cela que les grenoblois ne supportent plus et qui « plombe « véritablement le bilan de Piolle.
le Point Piolle va til trop loin mécontents

LE POINT :  » PIOLLE MULTIPLIE les MECONTENTS »

Avec l’arrivée du  » Point  » qui titre  » Piolle va t il trop loin ? sa « révolution urbaine » multiplie les mécontents  » on est sur le même registre. Et bien loin du « Point » d’octobre 2014 tout en louanges pour un Eric Piolle qui expliquait tranquillement  à propos de ses actions à Singapour:  » je n’avais que deux choix sur la feuille de ma  déclaration de patrimoine: entreprises non cotées ou actions détenues à l’étranger » . Une entreprise de  » 20 personnes » ( elle ne compte que 10 salariés à Grenoble ) et rien sur les 3 M€ de subventions ou d’avances remboursables pour une société dont le siège est à Singapour et certainement les bénéfices puisque l’entité Grenobloise est maintenue en pertes depuis 14 ans.

la REVOLUTION URBAINE: UNE VASTE MARCHE ARRIERE

Bref le ton a changé. Même s’il est question entre guillemets  bien sur de  » sa révolution urbaine  » qui n’est qu’une vaste marche arrière toute pour l’agglomération.   La municipalité Piolle renoue avec la piétonisation des années 70 sans tirer aucune de ses conséquences sur le vivre ensemble, le commerce, le type de population induit.  Il faudrait plus qu’un article d’un hebdo pour étudier la réalité du recul que représentent les mesures de E.Piolle et des idéologues qui l’entourent. Ils veulent calquer leurs dogmes sur une société . Pour eux si elle se rétracte c’est qu’elle ne comprend pas son bonheur.

PERTES d’EMPLOIS DANS LE COMMERCE: UNE SAIGNEE

Les pertes d’emplois évidentes dans le commerce qui constituent une saignée terrible – laquelle n’a pas commencé avec Piolle – pour ne prendre qu’un seul exemple concret ne fait pas bouger d’un iota ces élus qui ont toujours vécu sur fonds publics et n’ont jamais créé de richesses. Un secteur qui représente 29 000 emplois, plus que la filière technologique. Autant que les mesures elles mêmes, cette cécité à l’égard de la réalité est probablement l’un des facteurs qui aura le plus réveillé les Grenoblois.

LA PAROLE des GRENOBLOIS COMMENCE à ÊTRE ENTENDUE

Aujourd’hui, pour partie et encore bien faiblement, les médias ne peuvent plus répéter l’antienne déversée par l’ex gendre idéal à vélo. Lui-même pédale de plus en plus vite pour éviter d’être pris à partie par les grenoblois.Ce début de prise de conscience n’a pas encore intégré l’intégralité du système, ni ses motivations , ni ses acteurs réels, ni son organisation. La culture ambiante dominée par la gauche rend difficile sa compréhension et le cynisme  qui le caractérise puisque c’est normalement la droite qui n’a pas de coeur. Mais ces prémices démontrent que la parole des Grenoblois commence à être entendue