GRENOBLE : PARCS ET JARDINS CONTRE BÉTONNAGE
le » DL » de cet été a évoqué des parcs et jardins de la ville de Grenoble au moment des montées de températures.
Permettant aux Grenoblois de mieux les connaître.
Ainsi le parc des Champs-Élysées (près de Bachelard) qui est l’un des plus vastes de la ville avec ses 12 hectares.
Créé dans les années 60 il a été agrandi de 4 hectares par la municipalité Carignon lors du rachat des terrains de la viscose.
Le « DL » a évoqué aussi le Jardin Paul Valérien-Perrin (1 rue de NewYork), implanté à la place des anciennes usines Valisère. « Ce beau parc est remarquable avec ses parterres de fleurs, avec un côté très ensoleillé pour les amateurs, et un autre côté plus à l’ombre grâce aux nombreux arbres qui font son charme. Il y a même un petit kiosque à musique, lui aussi très ombragé » explique le « DL ».
Ce parc est également une réalisation de la municipalité UMP.
Elle a aussi crée le parc Marliave dans le quartier Berriat qui est un havre de paix et de verdure trés apprécié des habitants du quartier.
Par contre la municipalité Destot – hormis le parc Ouagadoudou- a été particulièrement bétonneuse en 18 ans. Elle présente même les parcs existants dans les projets immobiliers qu’elle promeut .
Ainsi elle a vendu le nouveau quartier de Bonne avec ses 900 logements en intégrant les parcs Hoche ( réduit) et Paul Mistral .
Si bien qu’elle a défini sur le site de la ville le quartier de Bonne comme au coeur de 5 hectares de verdure! Avec des photos évidemment trompeuses.
Idem pour Flaubert ou 15 000 habitants sont prévus à terme alors qu’on ne parle que de « coulée verte »….
Parcs, éco-quartiers il s’agit tout le temps et partout de tromper la population sur la marchandise. Comme un vulgaire promoteur…((DENSIFICATION DE L’AGGLO : DESTOT/BAÏETTO ACCÉLÈRENT)
Partout ,(Grenoble: UNE TOUR DE 16 ÉTAGES DANS UN CARREFOUR) dans toute la ville les projets déments se multiplient sous des appellations différentes ((LESDIGUIÈRES à Grenoble: 15000 M2 de commerces et 150 logements sur un hectare!).
Les Grenoblois vont avoir à choisir la ville qu’ils veulent en 2014: si le bétonage se poursuit à ce rythme c’est une ville invivable qui se prépare.